Une étude du fournisseur de services RH Securex révèle que près de la moitié des grandes entreprises (47%) et un quart des petites mènent une politique de prévention du burn-out. Une politique bien nécessaire puisque les cas de travailleurs victimes de burn-out sont en hausse.
Au printemps 2014, un premier projet de texte de la norme de système de management ISO 45001 a été proposé, déclenchant immédiatement un déferlement de critiques. Les syndicats et représentants des travailleurs ne sont pas du tout d’accord avec la proposition.
Le Conseil économique et social européen (CESE) vient d’émettre un avis sur le cadre stratégique européen 2014-2020 en matière de santé et de sécurité au travail. Si le CESE salue l’initiative de la Commission européenne, il pointe néanmoins un certain nombre de faiblesses et émet quelques recommandations.
L’automne et l’hiver, qui apportent leur lot de pluie, brouillard, grêle, gel et neige, rendent les contitions de travail en plein air difficiles. Si certains cherchent à s’abriter dès que trois gouttes tombent, d’autres n’enfilent même pas un imperméable. Chacun réagit différemment au froid hivernal, mais les règles sont les mêmes pour tous.
Selon une étude du conseil économique et social de Flandre (Sociaal-Economische Raad van Vlaanderen, SERV), 9,6% des travailleurs et 10,2% des indépendants en Flandre ont souffert en 2013 d’une intense fatigue psychique et de troubles liés au burnout. Pas moins de 220.000 travailleurs et 33.000 indépendants sont touchés. Ces personnes sont encore au travail mais ne parviennent plus à travailler correctement.
Le Professeur Philippe Mairiaux (Santé au travail et Education pour la santé – STES, Université de Liège) a cherché à répondre à la question de savoir si les changements sociétaux peuvent promouvoir le bien-être au travail. La réponse n’est pas simple. L’évolution est, comme toute chose, porteuse d’avantages et d’inconvénients.
Une approche multidisciplinaire au niveau organisationnel et individuel semble être la meilleure recette pour obtenir un climat psychosocial positif dans un environnement de travail. Il ressort d’un rapport de l’EU-OSHA et d’Eurofound ainsi que d’initiatives belges primées par le SPF Emploi que de nombreuses petites mesures prises à différents niveaux peuvent sensiblement réduire le stress au travail.
Les hôtesses de l’air présenteraient un risque accru de fausse couche et les pilotes de ligne un risque accru de cancer de la peau. Ces risques ont été pointés dans deux études américaines récentes.
On retrouve les lasers dans de nombreux domaines d'activité: le domaine médical et hospitalier mais aussi l'industrie, les arts et spectacles, l'enseignement ou la défense nationale. Bien que leur usage se soit généralisé, ils ne sont pas sans risque pour la santé. Cette fiche vous donne un aperçu des risques en fonction de la classe des lasers.
Une étude menée par deux associations françaises auprès d'automobilistes empruntant l'autoroute pour raisons professionnelles met en évidence 3 facteurs de risques importants: GSM, fatigue et vitesse.
L’inspection du travail (Contrôle du bien-être au travail) a récemment mené une campagne dans une trentaine de boulangeries artisanales de la province d’Anvers. Les inspections révèlent notamment une concentration trop élevée de poussières de farine dans l’air.
Le risque de transmission de maladies hivernales comme la grippe ou les gastro-entérites augmente avec le retour de l’hiver. Des gestes simples permettent de se protéger et de protéger les autres.