Depuis l’explosion du télétravail suite à la pandémie de coronavirus, voir passer la famille ou les animaux domestiques d’un collègue en arrière-fond d’une réunion en ligne n’a plus rien d’étonnant. Concilier travail et vie privée reste cependant un exercice périlleux. Que pourrait donc faire un employeur dans ce cadre? Une chercheuse au Centre de Psychologie Sociale et Culturelle de la KU Leuven propose l’organisation d’un entretien spécifique sur ce sujet.
Dans la partie 3 de cette série de quatre articles, le conseiller en prévention et professeur Guy Debleeckere confronte quatre méthodes d’évaluation (méthode Kinney, matrice des risques, graphe des risques et méthode hybride) à trois scénarios de risque.
On parle souvent de burn-out lorsqu’une personne est malade pendant une longue période et que la cause se situe dans la sphère psychosociale. Le problème est cependant beaucoup plus vaste. Certains aspects du burn-out (visibilité, ampleur, caractère maîtrisable et profil des principales victimes, à savoir des travailleurs motivés et productifs) sont insuffisamment mis en évidence.
Les effets du travail posté et/ou de nuit sur la santé et la sécurité des travailleurs ont déjà fait couler beaucoup d’encre. Les conséquences des longues heures de travail, en revanche, ont été beaucoup moins étudiées jusqu’ici. La littérature scientifique vient de remettre le sujet sur la table.
L'agence européenne des produits chimiques (ECHA) va proposer officiellement à la Commission européenne de réduire les produits contenant des microplastiques ajoutés intentionnellement.
Les risques présentés par les nanomatériaux, que l’on retrouve dans la composition de nombreux produits utilisés couramment, soulèvent encore de nombreuses interrogations. L’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) a réalisé une évaluation du dispositif de déclarations R-Nano instauré en France en 2013.
Le Brexit apporte des modifications au marquage des produits. Les produits entrant sur le marché britannique (Angleterre, Ecosse et Pays de Galles) doivent désormais porter le marquage UKCA (UK Conformity Assessed), qui remplacera à terme tout à fait le marquage CE. L’Irlande du Nord est soumise à des règles particulières.
Télétravail oblige, on passe plus que jamais du temps en ligne. Or, les yeux ne sont pas faits pour regarder fixement quelque chose plusieurs heures d’affilée. Après une longue période de travail sur écran, on risque d’avoir les yeux qui picotent ou larmoient.
Pour certains, comme les coiffeurs, les vendeurs ou les opérateurs de machines, travailler debout toute la journée est inévitable. A la maison aussi, la station debout prolongée est parfois requise. Une bonne posture, un aménagement adéquat et certains accessoires peuvent vous rendre la vie plus facile.
Depuis le début de la crise sanitaire, le télétravail est la norme pour beaucoup d’entre nous. Et ‘télétravail’ rime souvent avec ‘réunions en ligne’. Pourquoi se sent-on souvent plus fatigué après une journée remplie de visioconférences qu’après une journée au bureau?
Chaque jour, en Belgique, environ 30 personnes font un arrêt cardiaque hors d’un hôpital. L’utilisation d’un défibrillateur automatique externe augmente considérablement les chances de survie: sans intervention, seules 5% des victimes survivent.
Le service interne pour la prévention et la protection au travail est tenu d'établir un rapport annuel. Ce rapport donne un aperçu des activités de l'année écoulée et des accidents du travail.