Raccourcissement des délais, multiplication des articles, hausse des heures supplémentaires et amputation des week-ends, les journalistes sont soumis à un régime de travail pour le moins stressant. Soutenue par l’association flamande des journalistes professionnels et du fonds Pascal Decroos, la haute école Artevelde s’est penchée sur les raisons qui expliquent la fréquence relativement élevée du phénomène de "burnout" chez les journalistes.