L'Union européenne tend à devenir la première économie sans mercure. Outre son rôle dans les négociations sur la convention internationale de Minamata, elle a aussi édicté un nouveau règlement sur le mercure. Ce règlement vise notamment à mettre un terme à toutes les utilisations du mercure dans les procédés industriels et d'interdire toute nouvelle utilisation du mercure dans les produits et l'industrie, sauf en cas de nécessité avérée pour la protection de la santé et de l'environnement.