Prévention et intérim (PI) vient de publier son rapport annuel pour 2022. Il reprend les statistiques d’accidents du travail et de surveillance de la santé chez les intérimaires. Un constat: le taux de fréquence diminue et le taux de gravité reste stable par rapport à l’année précédente.
Deux nouvelles mesures ont été récemment introduites en France: une obligation d’information de l’inspection du travail dans les 12h en cas d’accident mortel et la mise en place de la surveillance post-professionnelle des salariés exposés à certains risques professionnels. Ces deux mesures existent déjà en Belgique.
En Ontario (Canada), un fabricant de béton préfabriqué a été condamné à une amende de 110.000 dollars suite à l’accident mortel dont a été victime un de ses travailleurs. Que s’est-il passé?
Eurogip, institut français spécialisé dans les systèmes d'assurance contre les accidents du travail et les maladies professionnelles, s’est penché sur les accidents de travail en télétravail. L’analyse porte sur sept pays européens (Allemagne, Autriche, Espagne, Finlande, France, Italie, Suède) et examine à chaque fois la couverture dont peut bénéficier le salarié.
A l’occasion de la Journée mondiale de la sécurité et de la santé au travail du 28 avril, le service de prévention externe Liantis fournit les résultats des analyses d’accidents du travail graves effectués en 2022. 42% des victimes étaient en service depuis moins d’un an.
Un tribunal brugeois a condamné un fabricant de tôles d'acieret son sous-traitant à de lourdes amendes suite à un accident de travail mortel survenu en 2019.
Selon l’agence européenne pour la sécurité et la santé au travail (OSHA), le fait de se retrouver coincé entre deux objets et celui d’être percuté par un véhicule comptent parmi les accidents du travail entraînant le plus de blessures graves ou de décès. La technologie de prévention des collisions permet de les éviter.
Qu’arrive-t-il si, après une relation amoureuse entre collègues, l’un(e) des employés(es) est victime de harcèlement dans ce contexte et développe une dépression nerveuse? Est-ce alors un accident de travail? Voilà la question que se pose un avocat canadien dans le Journal de Montréal, en se basant sur un cas récent.
Dans cette série d’articles, Guy Debleeckere cherche une méthode simple, universelle et systémique pour analyser les risques et les accidents. Dans ce dernier article, il applique le modèle HEEPO interactif pour analyser un accident impliquant un recycleur de solvants.
Une conseillère de vente d'un magasin de la chaîne Leroy Merlin à Paris s’est blessée en portant une charge de 30 kg. L’employeur a été jugé responsable de cet accident du travail.