Une étude britannique commandée par une entreprise de vente de produits d’aménagement de bureau en ligne apporte un élément inattendu dans la configuration de bureaux: la prise en compte de la personnalité du travailleur.
Unia, l’institution publique de lutte contre la discrimination, constate depuis des années une augmentation du nombre de dossiers de discrimination fondée sur l’état de santé et le handicap. La solution passe, selon elle, par une meilleure application du droit aux "aménagements raisonnables".
L’HACCP, qui vise l’absence de contamination des aliments, nécessite une approche systématique, l’application de procédures et l’établissement de formulaires d’enregistrement. “Mais surtout, il s’agit d’un processus continu dans lequel tout le monde doit être impliqué”, nous affirme l’équipe HACCP de la Banque nationale de Belgique (BNB).
Selon le concept "Activity Based Working" (ABW), les lieux de travail ne sont plus attribués aux personnes mais bien aux activités. Comment réussir à mettre en place cette nouvelle génération d’"open space"? Quels sont les facteurs critiques? Voici le témoignage de Myriam Pauwels, responsable du service interne de prévention de ING Belgique, et de Georges Volders, responsable du service interne de prévention AG Insurance, qui ont appliqué ce concept à grande échelle dans leur organisation[1].
Malgré un nombre croissant d’études qui tendent à démontrer que l’open-space n’a pas tenu toutes ses promesses, cette forme d’aménagement des lieux de travail rencontre toujours un grand succès. Ce succès est peut-être attribuable au fait que de nombreuses entreprises et institutions perçoivent l’aménagement de leurs locaux comme une question essentiellement technique confiée aux facility managers et fournisseurs de mobilier. Lorsque les psychologues, les ergonomes et même les économistes y regardent de plus près, la contribution des espaces ouverts à l’amélioration de la communication, de la créativité et de la performance semble être souvent mise à mal.
Une étude d’Integron menée aux Pays-Bas révèle qu’un quart des travailleurs ne sont pas satisfaits de l’aménagement de leur environnement de travail flexible. Ils ne peuvent travailler comme ils le souhaiteraient, que ce soit à la maison ou au bureau. Il convient de tenir compte de nombreux éléments lors de l’aménagement de bureaux flexibles.
Les dispositions relatives à la santé et la sécurité concernant le travail sur écran de visualisation sont la plupart du temps adaptées aux bureaux bien équipés. Pourtant, les filières de production ont elles aussi recours au travail sur écran, notamment pour l’encodage des données et la supervision des processus. Une étude a démontré que ces lieux de travail sur écran sont dans l’ensemble loin de satisfaire aux exigences en matière de santé et de sécurité. L’aménagement des postes de travail et l’organisation du travail laissent également à désirer quant au respect des principes d’ergonomie.`
Le Health and Safety Executive (HSE), l’organisme britannique compétent en matière de santé et de sécurité au travail, s’est penché sur l’utilisation et la mise en œuvre d'outils mécaniques et d'automatisation visant à réduire les risques pour les membres supérieurs en cas de manutentions répétitives. Le HSE souligne le fait que si l’automatisation peut être une solution, elle a aussi des limites. En outre, il faut veiller à ce que les opérations à réaliser manuellement après l’automatisation n’entraînent pas de nouveaux risques. Un projet d’automatisation ne peut fonctionner que si les travailleurs sont consultés au préalable et lorsque le nouveau système a d'abord été testé et évalué avant d'être mis en place.
Dans son rapport de recherche, le HSE suggère quelques bonnes pratiques en matière d'automatisation. Ce mois-ci, PreventFocus se penche sur le cas de l’empilage automatisé de calendriers.
Le Health and Safety Executive (HSE), l’organisme britannique compétent en matière de santé et de sécurité au travail, s’est penché sur l’utilisation et la mise en œuvre d'outils mécaniques et d'automatisation visant à réduire les risques pour les membres supérieurs en cas de manutentions répétitives. Cet exemple présente une situation dans laquelle les travailleurs doivent empaqueter des calendriers dans des caisses en carton et ensuite sceller ces caisses avec du papier collant.
Le Health and Safety Executive (HSE) britannique a étudié l’utilisation et la mise en œuvre d’outils mécaniques et de l’automatisation pour réduire les risques liés aux gestes répétitifs des membres supérieurs. Cet exemple présente une situation dans laquelle le tri du papier est automatisé.