Pour sa thèse de formation de conseiller en prévention de niveau 1 à la preventAcademy, Veronique Lindekens d’EcoWerf a élaboré un tableau de bord du bien-être au travail basé sur des KPI. Le tableau a été testé dans un service gérant 23 parcs à conteneurs. Cet article se penche sur les KPI qu’elle a développés pour composer le tableau de bord.
Le premier article consacré aux systèmes de management formels se penchait sur leurs avantages et leurs inconvénients et sur les résultats d’études axées sur leur efficacité et leur rentabilité. Ce deuxième volet s’intéresse aux cas dans lesquels la mise en place d’un système de management formel est déconseillée.
Cela fait trente ans que les entreprises ont adopté des systèmes de management formels destinés à gérer différents aspects, comme le bien-être au travail. Mais quelle est la plus-value de tous ces systèmes en la matière? Ce premier volet se penche sur leurs avantages et leurs inconvénients et sur les résultats d’études axées sur leur efficacité et leur rentabilité.
La division Haute tension d’Iris Industry Solutions a obtenu le certificat "Conscience de la sécurité échelon 3" en septembre 2019[1]. En août 2020, toute la division néerlandaise de l’entreprise était certifiée pour l’échelon 3. Qu'a fait cette organisation pour atteindre cet échelon dans l’échelle de culture de la sécurité?
Dirk Gyzels a été élu conseiller en prévention de l’année 2019 par l’organisation patronale belge Agoria. Prevent lui a demandé d’expliquer comment Inovyn, l’entreprise dans laquelle il occupe le poste de conseiller en prévention, avait modifié son approche en matière de sécurité et de santé au travail.
Le monde globalisé, la war for talent et la pénurie de certains profils sur le marché du travail incitent les employeurs à faire de plus en plus appel à des travailleurs ‘étrangers’ allophones. Dans sa thèse, Tine Berx traite de la place d’une politique multiculturelle en matière de politique de prévention globale.
À la suite d’un incident survenu à la gare de Bruxelles-Nord, Edelhart Kempeneers nous rappelle la relativité de la pensée humaine et son impact sur la prévention. Il donne également quelques conseils utiles pour que la raison l’emporte.
Dans le numéro de janvier de preventFocus, nous avons déjà expliqué que les Pays-Bas ont, avec leur échelle de sécurité, mis au point une méthode de mesure qui permet d’évaluer le niveau de la culture de la sécurité atteint dans l’entreprise. L’échelle de sécurité trouve son origine dans l’étude de l’Université de Manchester intitulée Hearts and Minds, qui a déjà 20 ans. Le présent article se penche plus en détail sur la conception de l’échelle de sécurité.
Contrairement aux idées reçues, les postes isolés sont nombreux, variés et présents dans tous les corps de métier. En outre, ces situations de travail sont souvent mal repérées. Or, travailler seul multiplie les contraintes de travail et augmente la difficulté de secourir lorsqu’un incident ou un accident survient.
L'échelle de sécurité, mise au point et souvent utilisée aux Pays-Bas, est une approche qui ne tient pas tellement compte d’une liste d’obligations différentes dans le cadre d’un système de gestion, mais qui évalue plutôt la culture de la sécurité dans l’entreprise.