Concilier vie professionnelle et vie privée n'est pas toujours simple. Smartphones et médias sociaux nous rendent hyper-joignables. Et c’est sans compter le télétravail, qui rend ces frontières encore plus floues. Comment arriver à un bon équilibre, comment fixer ses limites?
Coronavirus oblige, on se lave les mains régulièrement, on se méfie des poignées de porte et on évite d’appuyer sur le bouton de l’ascenseur avec le doigt. Pour les personnes atteintes de mysophobie, ces comportements n’ont rien de nouveau. Quel impact la crise sanitaire a-t-elle sur ces patients? Les mesures anti-covid engendreraient-elles de nouveaux cas?
En ces temps de coronavirus, nous voilà encore plus connectés qu’avant: télétravail, réunions en ligne, appels vidéo, échanges numériques,… tout cela, alors que notre corps a besoin d’une bonne alternance en ligne/hors ligne. La déconnexion est nécessaire à notre bien-être mental et sans elle, nous risquons le burn-out, estime Christine Wittoeck, fondatrice de Digital Detox Academy.
Au moment d’écrire ces lignes (18 mars 2020), le télétravail fait partie de la lutte contre le coronavirus. Et cela ne manque pas de poser quelques problèmes parfois… Voici donc quelques conseils pour vous faciliter la tâche.
Née aux Pays-Bas à la fin des années 70, l’approche ‘snoezelen’ est désormais pratiquée dans le monde entier. Certains la connaissent pour son utilité en milieu hospitalier ou dans les institutions accueillant des personnes mentalement handicapées, d’autres pour ses ‘espaces snoezelen’ aménagés dans les crèches, mais peu savent de quoi il s’agit exactement. preventActio vous présente cette belle approche, centrée sur la personne.