Selon un sondage du cabinet de conseil BDO, les bureaux sont encore loin de s’être adaptés au travail hybride, qui permet aux travailleurs d’opter pour le travail au bureau ou à la maison.
Une enquête de l’entreprise de services RH Acerta, la KU Leuven et HR Square montre que proposer la flexibilité et l’autonomie et un travail qui a du sens sont les principaux atouts des entreprises belges pour motiver leur personnel. Par ailleurs, la rémunération basée sur l’ancienneté est sous pression et la formation tout au long de la vie peine à s’installer.
Selon une enquête de Comet Meetings, presque 80% des Belges préfèrent les réunions physiques aux réunions en ligne. Ce pourcentage varie quelque peu en fonction du type et de l’objectif de la réunion.
Les femmes, les migrants et les travailleurs LGBTI sont davantage exposés aux troubles musculo-squelettiques (TMS) liés au travail. Un récent rapport de l’Agence européenne pour la sécurité et la santé au travail (EU-OSHA) identifie les raisons qui favorisent le développement de ces troubles chez ces personnes, qui travaillent souvent dans de moins bonnes conditions.
En 2018, le télétravail à domicile concernait 5,2% des Européens, un pourcentage qui s'est maintenu au cours de toute la décennie. Le télétravail occasionnel, en revanche, a connu une forte augmentation.
L’autorité française compétente en matière de discrimination dans l’emploi reçoit régulièrement des réclamations au sujet des exigences relatives à l’apparence physique fixées par les employeurs. Elle a donc établi en octobre 2019 un document de référence sur les règles à suivre sur le plan de l’apparence physique au travail.
De plus en plus de travailleurs souffrent d’une affection chronique. Pourtant, parmi les travailleurs de l’UE ayant une maladie chronique qui les limite dans leurs activités quotidiennes, seul un sur trois trouve un emploi adapté à ses besoins. C’est ce que révèle un rapport d’Eurofound d’octobre 2019.
En 2018, le bureau belge des statistiques Statbel a questionné plus de 27.000 personnes âgées de 18 à 64 ans sur leur équilibre vie professionnelle-vie privée. Un tiers des participants a déclaré éprouver des difficultés à concilier le travail et la vie privée.
Une étude réalisée par le prestataire de services RH Securex auprès de 1.552 salariés belges montre que 21% des travailleurs s’ennuient parfois au travail. 5,6% d’entre eux présenteraient même un risque accru de bore-out.
Une étude danoise révèle que le travail de nuit ou en soirée augmente le risque d’accident. Les chercheurs ont fondé leurs conclusions sur la comparaison des données relatives aux heures de travail des employés avec des données hospitalières générales sur les accidents.